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 Madame fait son entrée

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Henriette d’Angleterre

Henriette d’Angleterre


Messages : 1
Date d'inscription : 28/12/2010
Localisation : Versailles

Madame fait son entrée  Empty
MessageSujet: Madame fait son entrée    Madame fait son entrée  Icon_minitimeJeu 30 Déc - 14:41

*I – Votre personnage*

Nom complet : Henriette Anne Stuart
Age : 20 ans
Date de Naissance : 16 juin 1644
Titre: par son mariage : Duchesse d'orleans , de chatres , nemours , de Valois , de Monpensier , Chatellerault , comtesse de Dourdan et de Romorantin, Mortain
Bar-sur-Seine , vicomtesse d'Auge et de Domfront marquise de Coucy et de Folembray marquis de Mézières , baron de Beaujolais et princesse de Joinville . Elle est par sa naissance princesse d'angleterre .


Histoire : (minimum 10 lignes)

Une famille en danger

Huitième et dernier enfant du couple anglais Charles Ier et Henriette-Marie de France, petite-fille d'Henri IV, la petite Henriette commence sa vie dans des circonstances bien peu enviables. Elle est conçue lors d'une des dernières entrevues de son père et de sa mère, alors que celle-ci doit fuir les conflits opposant le roi à son ennemi, Cromwell. La reine est mal-aimée à la fois par les opposants au trône et même par les partisans de son mari, les deux camps lui imputant une influence sur Charles qui détournerait de lui beaucoup de ses sujets.

Dans cette fuite nécessaire où elle projette de regagner la France, inutile de dire qu'une grossesse apparaît plus comme une entrave que comme un don du Ciel. Le 26 juin 1644 avant même qu'elle ait pu atteindre Bristol, elle met au monde la petite Henriette. A la mi-juillet, elle embarque pour la France... seule, laissant sa fille derrière elle. Mesure de prudence? Peut-être bien, rajoutez-y pas mal d'indifférence aussi.

En 1646, sa gouvernante, lady Morton, refuse de la livrer au Parlement et elle s'enfuit avec elle, déguisée en paysanne accompagnée d'un prétendu petit garçon nommé "Peter". A Douvres, elle s'embarque pour Calais. Henriette-Marie, elle, accueille sa fille avec une joie de circonstances mais n'en blâme pas moins la gouvernante.

La reine d'Angleterre et sa suite de réfugiés qui commence à grossir de jour en jour sont pour être clair un fardeau pour la France. On ne peut évidemment pas refuser l'assistance à la tante du jeune Roi, mais elle est un poids pour le royaume et on se charge de le lui faire sentir. D'autant qu'en Angleterre les affaires de Charles Ier sont au plus mal, il ne manquerait plus qu'elle insiste pour faire intervenir la France dans les affaires désastreuses de son époux!

Avec le déclenchement de la Fronde en 1648, les affaires des deux anglaises ne s'arrangent pas. Oubliées au Louvre par la Cour en fuite, elle doivent subir le siège de Paris sans aucune ressource, au bord de la mort par la faim et par le froid. C'est à ce moment là que leur parvient avec dix jours de retard la mort de leur époux et père, décapité devant son palais royal de Whitehall.

"La fille du roi décapité"

Les exilées anglaises sont un peu plus délaissées... Henriette choisit de se retirer dans un couvent de Visitandines dont elle est elle-même la marraine tandis que sa fille est envoyée dans une filiale à Chaillot. Enfin! Celle-ci au moins sera sauvée de l'emprise hérétique! Et en effet, Henriette-Anne (pour la différencier de sa mère et en l'honneur d'Anne d'Autriche), loin de la pression paternelle, devient bonne catholique, assidue et zélée.

Même après la Fronde, les anglaises restent indésirables: Cromwell est maître de l'Angleterre et toute les tentatives de Charles II pour recouvrer son trône sont un échec. La France a besoin de l'île comme alliée et signe même avec elle un traité, au Diable les piques-assiettes!

Néanmoins, dans son couvent, Henriette-Anne grandit. Heureusement pour elle, son éducation n'en est pas négligée pour autant. Les Visitandines ne se cantonnent pas à l'instruction religieuse, elles l'initient à la condition princière qui est la sienne: chant, musique, danse, lettres, arts, rien ne lui échappe et tout est fait pour qu'elle puisse briller en société où est sa place.

D'ailleurs, la Cour elle connaît. Elle danse à maints bals costumés par convenance. Son cousin Louis se voit obligé par sa mère de l'inviter à danser, il le fait de bien mauvaise grâce. Elle a 11 onze, il en a 17, le jeune coq déclare ne pas aimer les "petites filles". Elle n'est pas dupe et garde contre lui une dent amère. Idem pour son autre cousin Philippe, qui ne manque pas de rappeller à qui veut l'entendre que ce sont eux qui les nourrissent, sa mère et elle.

Soeur d'un roi sans royaume, réduite à mendier sa subsistance _de façon toute royale qu'elle fut_ quel avenir pour la pauvresse? La Reine-Mère laisse vaguement entendre qu'à défaut de l'infante d'Espagne, elle voudrait bien Henriette-Anne pour bru... Sa mère et elle se bercent de faux espoirs. Louis raille plutôt son jeune frère: ce serait sans doute dans ses bras qu'échouerait l'embarrassante cousine...

Embarrassante... Dès 1659, elle ne l'est plus tant que ça la cousine... Cromwell est mort, son frère est sur son trône, elle devient subitement un des partis les plus prisés d'Europe. On sait l'attachement que Charles II porte à sa soeur, qu'il appelle affectueusement "Minette", ne serait-elle pas d'une grande utilité pour servir d'intermédiaire entre la France et l'Angleterre?!

Madame

16 ans et courtisée, traitée en quasi-reine par son frère, Henriette-Anne y est peu préparée malgré les efforts des Visitandines. La demande en mariage arrive de France, elle ira donc à Philippe. Il agit avec elle avec tous les empressements d'un futur époux. Un chroniqueur dira qu'il n'y manquait que l'amour. Mais elle est incapable, alors, de saisir la nuance.
Nul ne peut ignorer, pourtant, où portent les préférences de Monsieur. Rien n’a été fait pour faire obstacle à son inclination naturelle durant son éducation, bien au contraire.

La mariage a lieu le 31 mars 1661 dans la chapelle du Palais-Royal : la Cour porte le deuil de Mazarin disparu en début du même mois, on est en période de carême, bref, la cérémonie est sobre. Henriette comprend bien vite qu’à défaut d’un amour auquel elle ne s’attendait de toute façon pas, elle se console en pensant à sa position et au respect qui lui est du . Regrettant tous de même de ne pas être reine .


La nuit de noce est repoussée à quelques jours, ce qui contrarie fortement Monsieur qui aurait souhaité être débarrassé au plus vite de cette formalité. Il faut croire qu’ils se firent assez souvent violence pour que tout au long de leur mariage, Madame aura plusieurs grossesse . .

La Cour, elle, est charmée par cette princesse qui lui arrive. Les compliments pleuvent à foisons. On la disait maigrichonne et sans grâce, on la trouve bien faite et « aimable » et cultivée, intelligente et spirituelle de surcroît. Certains osent s’aventurer et dire qu’elle a tout pour faire une Reine, tout ce qui fait cruellement défaut à Marie-Thérèse. Mais Reine elle ne l’est pas par le titre, alors elle s'emploiera à l’être par le fait.

Jeux de l’Amour et du Hasard

Eté 1661. Toute la Cour goûte aux plaisirs estivaux de Fontainebleau et à la paix retrouvée. Les plaisirs se succèdent : chasses, bals, baignades dans la Seine, partout Madame est présente, on ne voit qu’elle. Le Roi se plaît en sa compagnie, au point même de s’en trouver inséparable. Ils se trouvent des passions communes dans la chasse et dans la danse qui renforcent leur attachement l’un pour l’autre. Autour d’eux, les spéculations vont bon train… Les amis d’Henriette trouvent qu’elle ne s’emploie à plaire au Roi qu’à la manière d’une belle-sœur, ses ennemis eux y voient malice et « coquetterie ». Peut-être sont-ils sur le point de tomber amoureux, mais de là à dire qu’il y eut plus que séduction, il y a un grand pas que nul n'a franchit.

Henriette se voit réprimandée par Anne d’Autriche qui a entendu les doléances de sa bru enceinte, Marie-Thérèse. ces deux femmes sont jalouse de sa beauté et de son esprit . Des reproches de convenances, au fond, la Reine-Mère les sait tous deux assez mal-mariés pour leur en vouloir de chercher amusement et légèreté ! Néanmoins, il est certain qu’elle ne leur accordera pas le moindre faux pas : amitié oui, galanterie non ! La jeune Madame fait la sourde oreille, assoiffée de reconnaissance et de plaisirs qu’elle est ! Louis aussi, alors les deux jeune gens continuent à s’afficher.
Le désespoir de Marie-Thérèse s’accroît, l’impatience d’Anne aussi. De son côté, d’abord ravi des succès de sa femme/

Brillant esprit que celui d’Olympe de Soissons ! Pour faire taire les rumeurs, celle-ci suggéra à Henriette de mettre en avant une des demoiselles de sa maison, que le Roi feindrait de courtiser pour détourner d’eux les suspicions. On présenta trois « candidates » à Madame, elle choisit la plus timide et la plus douce. Louise de La Vallière, qu’elle s’appelle. Fraîchement débarquée de province, Madame ne devrait pas, semble-t-il, souffrir de la comparaison. Puis elle delaisse de plus en plus le rôle d'amante au profit de celui plus intime de confidente , amie , alliée .

Henriette et la reine se retourve enceinte en même temps ; Marie thérese prends une petite revanche en donnant naissance à un fils mais toutes ses filles mouront jeunes et le roi se prendra d'amour pour ses niéces .
Bilan de ces premiers mois à la Cour: elle s’est aliéné définitivement les deux Reines . Seule l’amitié du Roi lui demeure et la certitude d’avoir la première place dans les événements mondains. Son frère enfin, fait d’elle une pièce importante sur l’échiquier politique, bref, Madame n’est pas prête de dégager du tableau !

Reine des fêtes…

Qu’est ce que la plus grande Cour d’Europe sans femme capable d’en assurer l’éclat ? Elle s’impose donc en protectrice des arts et des lettres, second astre des fêtes de la Cour.
C’est elle qui s’affiche aux côtés du Roi lors des réceptions données en l’honneur des souverains étrangers en visite, c’est elle que l’on admire et dont on se souvient. Lors des ballets, Louis et elle se trouvent associés dans des intrigues bien souvent amoureuses. Ses préférences ont, aux yeux des mondains, valeur de verdict. Elle aime Molière et le défend contre les attaques des bien-pensants qui entourent la Reine-Mère. Elle est la première à pressentir le génie du jeune Racine. . A defaut d'en avoir le titre , elle est la reine de versailles ! et mieux vos la respecter . Elle devient puissante , son seul regret son ses relations avec son époux avec qui elle est désuni . Ils se mettent d'accord aux niveau des interet communs mais celui ci est assez jaloux de l'attention que lui porte les autres hommes car Madame a de nombreux amants et ne demande qu'a être aimée . Elle obtient des charges pour ses favoris , son mari n'ayant rien à cause du souvenir de Gaston d'orleans .
la suite s'écrit ici .




Caractère : (minimum 5 lignes)

C'est qu'elle sait bien dissimuler sa personnalité derrière son éventail! Car elle a peut être une allure adorable, un joli visage et tout ce que vous voulez... Il n'en est pas moins qu'elle agit comme une peste! Et de nombreuses personnes pourront le dire! Elle prend un malin plaisir à humilier celle ou celui qui est devenu sa cible par un concours de circonstances des plus grossier! Autant prévenir qu'elle s'en donne a coeur joie! Henriette n'hésite pas à dévaloriser ces gens en public ou sinon, elle répand des ragots grotesques (mais que tout le monde écoutes et affirmes) dans tout Versailles!
Alors attention, rester toujours à votre place en sa présence et ne vous permettez surtout pas de lui faire une quelconque réflexion, surtout si vous n'êtes pas de ses intimes... Car là, vous êtes perdu... Elle n'aura aucun scrupule à vous écrasez... D'autant plus qu'elle en à la pouvoir!
je suis une jeune femme pleine de courage mon histoire m'obligeant acquérir cette qualité ,allié à une combattivité sans faille, personne ne me fait peur même le roi . Cela vous étonne ? certes je connais ma place du à mon sexe mais étant doublement royale par ma naissance , j'ai droit à un certain passe droit et puis il faut dire que mon cher cousin m'aime beaucoup . Néanmoins je suis très fier voir orgueilleuse parfois et surtout je n'oublie jamais . Mieux vos m'avoir pour amie que pour ennemie . Je suis assez ferme parfois même impitoyable . Je suis capable de simuler l’amour afin d’obtenir ce que je désire donc une bonne manipulatrice .
Cependant, la Princesse n'est pas non plus la méchanceté et la mauvaise foie incarnée! Non non, il lui arrive d'avoir des principes! Un exemple? Elle n'ira pas répandre de ragots sur les personnes qu'elle apprécient et ne leur causera pas de troubles! Si elle vous considère comme son ami, soyez certain qu'elle ne vous poignardera pas dans le dos...
Par contre, si vous faites une chose qui peux me i déplaire... je peut très bien considérer que votre amitié est brisée... Et dans ce cas... Les potins au sujet de "l'ancien ou ancienne" ami(e) peuvent très vite circuler
Vous l'aurez donc compris, sous son visage d'ange, Henriette sait être une véritable petite peste! Comme on le dit, les apparences sont trompeuses! Retenez le bien lorsque vous la croiserez. Oui, méfiez vous de ses belles paroles car elle sait très bien endormir la méfiance des gens par de beaux discours et des promesses qui ne peuvent pas du tout être respectés! mais cela est du à Versailles . Je suis aussi très ambitieuse
Voici la fin de mes défauts s car je suis pleine de qualités : Bonne , généreuse et vraiment gentille . J'aime la vie , le monde et ne demande qu'a être aimée . Ceci est ma quête , J'ai hâte de devenir mère et de pouponner . Enfin j'aime m'amuser , danser , jouer

Elle a tellement besoin d'être aimée. Il semble que ce soit à cette quête désespérée que soit vouée sa vie. Si jeune dans le monde sans pitié de la Cour, devenue tout aux yeux de ceux qui la voyaient comme rien.
Henriette est dans cette soif de vivre qui ne la quittera jamais. Elle a trop de choses à explorer, trop de bonheurs à vivre, elle ne supporte pas de s’en trouvée privée. Pour ceux qui ont su la séduire par des mots habiles, elle est sincère et offre son amitié et ses grâces sans détour, et parfois à ses dépens. Pour ceux qui la considèrent comme une ennemie, ennemie elle est, là aussi, pleinement.
Plus encore souffre-t-elle du mépris d’Anne d’Autriche, femme qu’elle admire tant, qui la rabroue à chacun de ces excès. Elle cherche dans ses yeux une approbation qu’elle n’a jamais et la considération qu’elle n’a jamais eu. L’amitié du Roi est bien ce qui lui apporte plus de réconfort. Elle se fait sa complice et sa confidente.


Description Physique : (minimum 5 lignes)


L’enfant chétif qu’elle était a connu une véritable métamorphose jusqu’en 1661.
Il est vrai qu’elle ne sera jamais dotée de ce petit embonpoint que prisent tant d’hommes. Pourtant elle a quand même quelques formes avec une poitrine ni trop grosse ni rop mince quand à sa taille fine cela est un avantage pour les robes les plus osées . Elle n’est pas non plus blonde comme ils les aiment mais ils sont long avec de belle ondulations et elle sait que ces amants aiment y glisser leurs doigts . Parfois des petites méches pendent dans sa nuque et cela est fort séduisant . Et pourtant les peintres en déploieront des efforts pour donner des reflets clairs à ses boucles châtains. Point d’yeux clairs non plus, elle les a marrons . .Pourtant, les poètes font son éloge... Il faut mettre à son crédit une belle taille, une peau blanche, une bouche vermeille et des dents belles. (Si, si c’est un critère à l’époque ! ) Les chroniqueurs louent également son goût en matière de parure et de coiffure . Elle a un maintien digne d'une reine très droite et très fiére . Elle n'est pas très grande ce qui lui donne un air enfantin . Avec un galbe naturel ses jambes sont magnifiques et rendent jalouses plusieurs dames de la cours . Ses mains sont d'une finesse exquise . Elle ne veut pas se vanter mais lors d'un concours elle a était élue la plus belle femme de la cours . C'est une femme sensuelle , séduisante qui plait énormément .

Personnalité sur l’avatar :
Code du règlement :rien est éternel sauf cette nuit la à versailles

*II - Vous*

Prénom : Margot
Age : 16
Comment avez-vous connu le forum ? en recherchant des rpg historique
Que pensez-vous qu’il faut améliorer sur le forum , plus de monde et plus de dynamisme .
Combien de fois par semaine pensez-vous vous connecter ?
tous les jours Very Happy

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